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Saint-Brieuc

Dans cette chanson vestige, chanson vertige, les hauteurs de l’édifice de la Tour de Cesson rongées par les siècles apparaissent « dans le temps qui ferraille » comme le signe d’une lente mutation, une inéluctable érosion.

Les remous qui te bordent au pied de la falaise

Fondaient à marée basse comme un sort dans la braise,

Ton port s’abandonnant au bras de l’estuaire

Signait la fin d’un temps lumineux et prospère.

Dans le temps qui ferraille, Jo Stimbre

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