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Vannes
Suite au procès du diabolique Gilles de Rais, Jean de Malestroit voit son énergie
décliner peu à peu ce qui le mène, en septembre 1443, à faire appel à une
guérisseuse vannetaise.
Les plantes médicinales seront-elles suffisantes pour apaiser le corps et l’âme
de cet homme épuisé par les épreuves ? Des fragments de réponse survolent
ce récit, se lisent entre ses lignes, s’immiscent dans ses ombres et ses lueurs.
Extrait
Je porte en mon cœur la guérison de ceux
Qui croisent mon regard,
Sur la place Mein Guevr j’ai embrassé le vœu,
Un jour de brouillard,
De livrer mes soins aux âmes en détresse que
L’essence du hasard
Poserait sur ma route, et me voici aux portes
De Château Gaillard
Une lueur de passage, Jo Stimbre



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